Pokhara

L’adieu aux toits du monde

L’adieu aux toits du monde

Nos corps se sont finalement habitués à l’altitude, au froid sec, et aux régimes alimentaires locaux (enfin presque). La fatigue accumulée tout au long de ce bike trip Népalais très sportif est bien là, mais apprivoisée… Pourtant, il faut rentrer.
Enfin pas tout de suite, le chemin du retour est encore long pour rejoindre Beni, Pokhara, Katmandou, puis l’occident. Il reste quelques sentes, quelques rencontres, quelques anecdotes, et quelques paysages d’un autre monde.

L’entrée en Montagne

L’entrée en Montagne

Dans un pays aussi enclavé géologiquement, géographiquement (et politiquement) que le Népal, muni d’infrastructures déficientes et délabrées, où le train n’existe que par le prolongement sur quelques kilomètres d’une ligne Indienne, les moyens de déplacements sont soit lents, soit rustiques, soit aléatoires, soit dangereux, et peut-être bien même tout ça à la fois !

Immersion, entre Katmandou et Pokhara

Immersion, entre Katmandou et Pokhara

De Katmandou nous n’aurons quasiment rien vu, mais ça n’était pas le but. Qu’elle soit occidentale, orientale, du nord, ou du sud, la « ville » ne pourra jamais nous faire vibrer autant que les grands espaces naturels que nous sommes venus chercher, si loin.
En attendant, il faut reprendre notre cheminement, par la route cette fois-ci, et rejoindre la vallée subtropicale de Pokhara, environ 200 km à l’ouest de Katmandou, porte d’entrée du trekking  himalayen.